Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre (1894) (14594509258)
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Identifier: lesaccouchement00witk (find matches)
Title: Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre
Year: 1894 (1890s)
Authors: Witkowski, G.-J. (Gustave Joseph), 1844-1923
Subjects: Obstetrics Medicine and art Literature and medicine Theater
Publisher: Paris, G. Steinheil
Contributing Library: Fisher - University of Toronto
Digitizing Sponsor: University of Ottawa
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urquo-na-t-on pas voulu que je restasse auprès delle?... y auiait-il du dan.ger?... Elle ma présenté sa main à baiser, quand je lai quittée, avecun air dattendrissement qui me pénètre le cœur... Ma chère Fargette !mon aimable épouse ! Ah !... Il se jeta dans un fauteuil, il vit devant luiun papier «lalTaires ; il voulut le lire... ; sa vue se brouillait... 11 prit laplume et voulut écrire... En ce moment, il entendit dans la rue comme une espèce de tumulte.Il courut à la fenêtre et louvrit. —La Reine est accouchée, disait lepeuple : nous avons un Dauphin ! — Ah ! ((ue le Roi est heureux, pensa lePrésident; car il comprit que la Reine se portait bien. 11 vint pour sin-former de sa femme; mais cétait en tremblant. Il appela. 56 lobstétrique Varzine était une charmante fille, sœur de lait de la Présidente, quellenavait jamais quittée : elle adorait sa maîtresse, et elle en était chérie. —Varzine, lui dit linquiet mari, comment ?... 11 ncsa pas achever, —
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Fia. 41. Elle souffre. — Va lui dire que la Reine est accouchée... heureusement...et que nous avons un Dauphin. Varzine courut à lappartement de sa maîtresse... Le Président se re-mit à sa table, la quitta pour aller à la fenêtre : là, il entendit deux DANS LES BEAUX-ARTS 57 hommos dun tHat au-dessus du coniniun, dont lun disait: — On a portéle nouvoaii-n< au Roi ; il la pris ilansses bras avec transport : — Présentde la divinité! Sois un jour un de ses bienfaits pour la nation française.Puis il a couru auprès de la Reine: — Ma chère femme ! Kt il lembras-sait on lui disant: Cest un Dauphin. Ils sontilemourés unis, confondantleur joie et leiu- ravissement... Le Président était dans lextase : — Non,dit-il, ce beau jour, ce jour heureux ne ftîra pas couler mes larmes! Ilfut se remettre à sa table. 11 y était à peiné que la porte souvre avec bruit : cétait Varzine,suivie de la garde : — Ccsl un fils,3fonsicur\ (fig. 41)sécrielajeune lille. — Un fi
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