Égypte (1911) (14597808460) - Public domain book illustration
Summary
Identifier: gyptemas00maspuoft (find matches)
Title: Égypte
Year: 1911 (1910s)
Authors: Maspero, G. (Gaston), 1846-1916
Subjects: Art -- Egypt Egypt -- Antiquities
Publisher: Paris : Hachette
Contributing Library: Robarts - University of Toronto
Digitizing Sponsor: MSN
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sculpté et peint, cf. Rhind, Thebei, ils Tomhs and ihcir Tenants, in-8. Londres, 1862, p. 111-1 1 2 et frontispice. Maspero, Archéologie égyptienne, \^ éd., 1888. p. 278-279 et fig. 256-257. — E. Orfèvrerie et bijouterie. — Outre les deux ouvrages de Vernier cités plus haut, con-sulter, pour le trésor de Toukh el-Garamous : IVlaspero. Causeries d Egypte, in-8, Paris, 1907,p- 305-310; — C. C. Edgar, Report on an Excavation ai Toukh el-Garamous, dans lesAnnales du Service des Antiquités. 1906, t. Vil, p. 205-21 2 ; pour 1 orfèvrerie saite ; Maspero,Lettre sur une trouvaille de bijoux ésypiiens faite à Sakk<^rah,dans la Revue del.Art ancienet moderne, 1900, t. Vlll. p. 353-358; — pour lorfèvrerie méroitique, Schaefer-Moller-Schubart,jTLgyptische Goldschmiedearbeiien dans les Mitteilungen aus der tsgyptischen Sammlung),t. Il, in-S, Berlin, 243 p. et 36 pi., oii I on trouve aussi les bijoux et les orfèvreries des âges anté-rieurs que le Musée de Berlin possède.
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FiG. 563. A.MULETTES EN OR DÉPOQLE SAIÏE. (Musée du Caire.) (Cliché E. Brugsch.) 002 CONCLUSION TELLE est, dans ses grandes lignes, lhistoire de lart égyptien. Lespremières pages nous manquent entièrement, celles qui traitaientdes origines, et si plusieurs chapitres des âges plus récentssont déjà rétablis, dautres restent encore criblés de lacunes ou s in-terrompent brusquement. Le temps quelle dura nous est inconnu,mais plus de quarante siècles bien comptés sécoulèrent entre le momentquelle commence pour nous et celui où elle sachève. Cest lespacele plus long pendant lequel il nous ait été donné jusquà présentd_ suivre de façon presque continue lévolution dune des grandesnations dart de lantiquité. Nous est-il permis de discerner déjà quelques-unes des causesqui firent lart égyptien et qui le maintinrent ce que nous le voyons ?Jai montré plus dune fois dans ces pages quil ne cherchait pas àcréer et a noter le beau pour le beau même. Il était, dans l