Bruxelles à travers les âges (1884) (14783657253)
Summary
Français : Philippe Comte de FlandreEnglish: Philippe, Count of Flanders. He wears the uniform of the Guides and the Grand Cordon breast star and sash of the Order of Leopold.
Identifier: bruxellestravers03hyma (find matches)
Title: Bruxelles à travers les âges
Year: 1884 (1880s)
Authors: Hymans, Louis Salomon, 1829-1884 Hymans, Henri, 1836-1912 Hymans, Paul, 1865-1941
Subjects: Prince Philippe, Count of Flanders
Publisher: Bruxelles : Bruylant-Christophe
Contributing Library: Getty Research Institute
Digitizing Sponsor: Getty Research Institute
Text Appearing Before Image:
FFRANT DE FAIRE LE SACRIFICE DE SA COURONNE. Réduction de la lithographie de Borremans, daprès A. Spol. mation. Dans un article daté de une heure, lIndépendance dit que le convoi quidevait quitter Paris le 24 au soir nest pas arrivé le matin à Bruxelles. Celui deQuiévrain napporte pas de correspondances. Un train arrive de Lille, mais à Lillemême on ne sait rien de précis. Enfin, dans son numéro du 27 février, daté du 26,quatre heures du matin, lIndépendance publie la relation complète de la révolutiondu 24. Des voyageurs de Paris ont débarqué à la gare, et la poste a transmis lesjournaux et la correspondance. Sur linquiétude mêlée de curiosité qui avait envahi Bruxelles, et les premièresimpressions produites par la nouvelle, attendue et cependant presque inopinée tantelle semblait effrayante, de la proclamation de la république en France, une lettre Le duc de Brabant, lannée de sa majorité (i853).Fac-similé de la gravure de D. Desvachez, daprès Schubert.
Text Appearing After Image:
Philippe comte de Flandre.Daprès le portrait lithographié par Schubert en i855 47 370 BRUXELLES MODERNE. adressée au Journal des Débats par Philippe Bourson, donna dintéressants détails.Datée du 29 février, elle parât dans le numéro du 2 mars. La voici : - Lanxiété la plus vive a régné à Bruxelles pendant que sopérait votre granderévolution. Nous étions sans nouvelles directes. Mille bruits divers couraientpartout. Ils se démentaient les uns les autres. Le 25, nous avons été complètementsans nouvelles (1). Nous savions seulement que le combat avait recommencé dans lasoirée du 23. Le soir, une locomotive spéciale a amené dans la station du Midi unemployé des postes qui avait été envoyé à Valenciennes. Entouré par de nombreuxassistants, il a répondu que tout était fini, que les choses allaient bien, et sestdérobé aux interrogations en sélançant dans une voiture qui sest rendue au galopau ministère de la guerre. La contenance peu assurée de cet emp
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