Mariage de demain - (Dajan-Phinn) (1910) (14758410086)
Zusammenfassung
Identifier: mariagededemaind00cord (find matches)
Title: Mariage de demain : (Dajan-Phinn)
Year: 1910 (1910s)
Authors: Corday, Michel, 1870-1937
Subjects:
Publisher: Paris : Juven
Contributing Library: University of Ottawa
Digitizing Sponsor: University of Toronto
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élibataire, il pourraitdistraire du deuil encore récent, entou-rer de sa présence ^a grande amie de tou-jours, cette exquise maman quil adoraitet dont il se sentait secrètement le pré-féré, le beninmin. Déjà ^on vœu se rén-licait. Tls habitaient ensemble. Aujour-dhui, lui-même lavait amenée au tennisde loncle Courtemer. Tl la contempla, tandis Quinclinant sonprofil spirituel et cambré, demeuré sijeune sous le diadème des cheveuxblancs, elle versait aux joueurs le cordialdes boissons placées. Dun regard encoin, elle le surprit en extase. Alors illui répondit dun bon sourire complice:« Oui, oui, tu verras, nous allons rattra-per le temps perdu, nous deux... » Ivresse des projets, joie dimaginer,de construire lavenir... Lui aussi, il se-rait assidu à ces réunions du vendredi,qui groupaient toute la famille. Une trou-vaille, ce terrain aux portes de Paris,derrière lusine de loncle Courtemer,le frère de sa maman. Il y faisait bonregarder les joueurs. On entenda:t à
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C» NE SERA RIEN ; UN LAVAGE, UN PANSEMENT KT DU REPOS, M \l:l i./ DE hl:\t l/.V peine, .1 ti murailles, le ronron i\< m.m de m. 1. Inii 1 1 dei ri< re le1 ideau d< p< upli< 1 . lui ail la pro < ne, é< I il délin< elle U fcom i.1< il — Monsieui e quiirriei venii Quelquun, quil navait ps 1 ntendum. H her, lui pai lut dans le dos, dunevoix d et pressante Se retour- nant . il !ress< dune détente : — Quest ce quil y Du même ton retenu, le concierge ré-pondit : — Une femme qui s*es\ pris la maindans un engrenage. Alors... Léon interrompit:■— ( !est bien. Je vous suis,là lorsquils lurent éloi-nés de quel-ques pas: — ( irave? — Je ne sais pas. Je nai rien vu. CestMonsieur Courtemer, qui partait en auto-mobile, qui ma dit comme ça-dallervous chercher. Coupant au plus court, dune allurerapide, les deux hommes traversaient;le jardin. Car la villa Courtemer